Chiens, loups et chiens-loups: janvier 2008

jeudi 17 janvier 2008

La cuisine de l'ami du chien





mais comment avez-vous pu vivre sans ça dans votre cuisine???



source

samedi 12 janvier 2008

Wikipedia: chien-loup de Tchécoslovaquie - histoire, croissance, photos (CsV / CLT)


Voici une traduction de l'article en anglais sur Wikipedia, l'encyclopédie libre, version beaucoup plus développée que l'article en français:

Le chien-loup de Tchécoslovaquie
http://en.wikipedia.org/wiki/Czechoslovakian_Wolfdog

Le chien-loup tchécoslovaque est une race de chien relativement récente, dont la lignée originale remonte à une expérience effectuée en 1955 dans l'ancienne République de Tchécoslovaquie. Après avoir accouplé un berger allemand avec une louve des Carpathes, un plan a été établi pour créer une race hybride qui mélangerait les qualités souhaitées des 2 races. Elle fut officiellement reconnue comme race nationale en 1982 en République Socialiste de Tchécoslovaquie, et en 1999, elle devint le standard FCI n° 332, groupe 1, section 1. La race n'est disponible que depuis peu en Grande-Bretagne, grâce aux efforts de la DEFRA et à la reconnaissance officielle du Kennel Club (1).

Apparence
Tant la constitution que les poils du chien-loup tchèque [CsV ou CLT; ndt] rappellent ceux du loup. La plus basse taille à l'encolure est de 65cm pour un mâle, et 60 cm pour une femelle, et il n'y a pas de limite supérieure. Le cadre du corps est rectangulaire, le ratio entre hauteur et longueur est de 9:10 ou moins. L'expression faciale doit indiquer le sexe de l'animal. Des yeux ambrés obliques et des oreilles droites montantes de forme triangulaire sont ses marques caractéristiques. Il a une dentition complète (42); elles sont très puissantes; une dentition en forme de ciseaux ou en forme de pinces, les 2 sont acceptables. La colonne vertébrale est droite, puissante en mouvement avec courte chute de reins. La poitrine est ample, de forme plate plutôt qu'arrondie. Le ventre est solide et tiré. L'arrière-train est court, légèrement incliné, la queue est portée haute; quand elle s'abaisse librement, elle atteint les tarses. Les membres antérieurs sont bien droits, et rapprochés, avec les pattes légèrement tournées vers l'extérieur, avec un long radius et métacarpe. Les membres postérieurs sont musclés, avec un long jarret et cambrure de patte.

La couleur du pelage va de jaune-gris à gris-argent, avec un léger masque. Le poil est droit, touffu et très épais. Le CsV est typiquement un tenace galopeur; son allure est légère et harmonieuse, ses pas sont longs.

Tempérament
Le CsV est plus polyvalent que spécialisé. Il est rapide, vif, très actif, sans peur et courageux. Au contraire du caractère du chien-loup de Saarloos, la crainte est un défaut qui disqualifierait un CsV.



Les CsV développent une très forte relation sociale non seulement avec leur maître, mais avec toute la famille. Il peut facilement apprendre à vivre avec d'autres animaux domestiques de la famille; cependant, des difficultés peuvent survenir lors de la rencontre avec des animaux étrangers. Il est vital d'éteindre la passion du CsV pour la chasse lorsqu'il est encore chiot, afin d'éviter un comportement agressif une fois adulte. Le chiot ne devrait jamais être isolé dans le chenil d'élevage; il doit être habitué à divers environnements, pour le voyage, etc. Les femelles sont facilement contrôlables; les mâles ont souvent une adolescence houleuse.

Le CsV est très enjoué et d'un fort tempérament. Il apprend facilement. Cependant, il ne s'entraîne pas spontanément, le comportement du CsV est strictement résolu – il est nécessaire de trouver une motivation pour l'entraînement. Le cas le plus fréquent d'échec est habituellement le fait que le chien est lassé d'inutilement longues répétitions du même exercice, ce qui amène à une perte de motivation. Ces chiens ont des sens remarquablement développés et sont très bons pour suivre des pistes. Ils sont très indépendants et peuvent coopérer avec la meute pour des occasions spéciales. Si nécessaires, ils savent très facilement déplacer leur cycle d'activité vers les heures de nuit. Parfois il y a des problèmes à l'entraînement lorsqu'ils sont requis d'aboyer. Les CsV ont une palette de moyens d'expression bien plus large et l'aboiement n'est pas naturel pour eux; ils tentent de communiquer avec leur maître d'autres manières. En général, pour éduquer un CsV pour obtenir des performances stables et fiables prend un peu plus de temps qu'avec l'éducation de races spécialisées traditionnelles.

[merci d'aider à affiner & améliorer ce texte en m'envoyant vos suggestions, voir adresse courriel dans la marge de gauche]


JOLLY z Molu, typique femelle CsV


Autres dénominations :
Československý vlčiak (sk)
Československý vlčák (cz)
Czech Wolfdog
Slovak Wolfdog
Chien-Loup de Tchécoslovaquie
Chien-Loup Tchèque

standard de la race
http://www.scc.asso.fr/mediatheque/standards/332.pdf

Articles dans une revue française - naissance de la race CsV, avec de magnifiques photos, et les différences entre le Saarloos et le CsV :
http://www.lacombenoire.com/accueil_lechienlouptchecoslovaque_articles.htm

Wikipedia.de: Tableau de croissance en photos du chien-loup de Tchécoslovaquie (CsV)
























Scoop: 3 chiots attaquent un alligator!


vous ne pensiez tout de même pas sérieusement que des chiots s'attaqueraient vraiment à un tel monstre?! :-))

jeudi 10 janvier 2008

Chien de chasse blessé par une voiture et abandonné à crever



De: jean-kloot2005 at jean-kloot.com
Forums: nl.huisdier.algemeen,fr.rec.animaux,rec.pets.dogs.rescue,free.uk.pets.dogs
Sujet: French hunting dog hit and left at the side of the road
Date: dimanche 06 Jan 2008 14:25:19 +0100

En octobre dernier, j'ai découvert un petit chien de chasse gravement blessé, gisant sur le côté d'une route relativement bien fréquentée. A chaque fois qu'une voiture passait, l'animal relevait sa petite tête, espérant probablement de l'aide. Je l'ai immédiatement emmené chez une vétérinaire, qui fondit en larme lorsqu'elle le vit, et l'état de négligence dont l'animal avait souffert. Il était criblé d'asticots, et devait de toute évidence se trouver là depuis une semaine ou plus, à soulever sa tête et être ignoré par les passants, crevant de faim et souffrant. La vétérinaire estimant que l'euthanasie était la seule option possible, je suis resté, caressant le chien jusqu'à ce qu'il soit mort. Je n'oublierai jamais son regard. La vétérinaire dit qu'il devait être âgé de 8 ans, et était dégoûtée qu'on ai permis à l'animal de souffrir si longtemps. Il méritait mieux que ça.

Elle ne m'a rien compté pour son intervention. Bien entendu, l'animal n'était ni tatoué ni équipé d'une puce.

J'espère qu'il y a un paradis pour les chiens.

lundi 7 janvier 2008

Chiens: alcootest bientôt obligatoire? Avec 1.6mg d'alcool, faudra y songer!

"Dingo" musste in die Tierklinik Bad Goisern - Foto: APA

Ce lundi, le quotidien OÖ-Nachrichten rapporte sur son site internet qu'un Golden Retriever (Labrador) de 3 ans, appartenant à un chasseur de la région du Salzkammergut (nord de l'Autriche), a été hospitalisé à la clinique vétérinaire de Bad Goisern. Il avec 1,6 g d'alcool dans le sang...

Dingo (40 kg) avait été amené vendredi à la clinique car il souffrait d'aérophagie et de diarrhées. "Lorsque j'ai placé le chien sur ma table d'auscultation, ça sentait comme dans une distillerie d'alcool", a déclaré au journal le vétérinaire, le dr. Karl Hofbauer. Suite à l'analyse d'un échantillon sanguin de l'animal, le verdict tombait : Dingo présentait un taux d'alcoolémie de 1,6 g.

Après enquête auprès du maître, il s'est avéré que le chien de chasse avait subtilisé dans la cuisine familiale 500 grammes de pâte à pain en cours de fermentation. "La digestion d'une pâte en fermentation produit de l'alcool", a expliqué le vétérinaire qui a prescrit un bon sommeil de désintoxication. "Ici, les mauvaises langues disent que les chasseurs sont souvent ivres. Voyez-vous, chez moi, c'est plutôt le chien", a dit avec humour le propriétaire de Dingo.

sources :
1.6g d'alcool pour un Labrador de Bad Goisern - 07.01.2008 11:47
http://www.kleinezeitung.at/nachrichten/chronik/699807/index.do
http://www.kleinezeitung.at/images/logo_neu.gif

http://www.im-salzkammergut.at/salzkammergut/alle_themen/artikel-lesen/frmArticleID/1835/
http://www.im-salzkammergut.at/themes/skgt/images/im_skgt_logo_665x61.gif



Le lac près de Bad Goisern – Ce Labrador "Dingo" préfère la cuite d'ici à l'eau de là...


Héhoooo, où c'est-y qu'on va, là, mmhhhh? Si nos animaux se mettent à imiter toutes nos biesseries, on n'est pas sortis de l'auberge!






vendredi 4 janvier 2008

"Survivre avec les loups," un splendide film famillial



Ce mercredi soir, nous avons été voir en famille un film splendide, "survivre avec les loups"

Parmi les quelques salles à encore le projeter en Belgique, nous avons été à cette belle petite salle à l'ancienne, où on a de l'espace pour allonger ses jambes (avec mes longues quilles, c'est appréciable), où le tarif est démocratique, où les publicités ne sont pas envahissantes, où le personnel est affable, à savoir "Ciné-Centre" à Rixensart. Vraiment, ça valait le déplacement et bravo à cette salle pour la qualité de ses choix et de son cadre!



Leur programme mentionne encore une projection ce dimanche 6 janvier 2008:
http://www.cinecentre.be/film/survivre.htm

L'histoire, beaucoup la connaissent dans les très grandes lignes. Lors de la parution du livre chez XO, il y a eu un tel battage radiophonique qu'il est difficile d'ignorer l'existence du récit autobiographique de Misha Defonseca..






Voici une photo d'elle juste avant qu'éclate la guerre : la jolie petite Misha est coiffée d'un immense nœud blanc, blanc comme l'innocence de l'enfance, un blanc qui sera vite entaché par la folie des "adultes."

Hélas, l'histoire s'emballe et tourne au cauchemar quand commence la seconde guerre mondiale. Misha est une petite fille juive habitant Bruxelles, mais sous occupation nazie, elle n'est plus une petite bruxelloise comme les autres, elle devient "gibier" pour les fous et les monstres. Avec ses parents, ils vivent cachés. A l'école, il faut des trésors d'imagination et de prudence au personnel pour la cacher, elle et les autres enfants Juifs, à chaque descente de police. Un jour cependant, ses parents sont arrêtés dans une rafle vidant tout le quartier. Elle se trouve d'abord hébergée par de "bons Belges" qui en font leur esclave, veulent la "déjuiver" à tout prix, et lui en font voir de toutes les couleurs.. avant de la balancer une fois que ça sentira le roussi pour eux. Ma famille a aussi été victime de ce genre de "bons citoyens bien comme il faut," avec dynamitage de maison du grand papy résistant (pendant que le mari de sa fille était en camp de concentration), je peux comprendre ce qu'elle a dû ressentir toute sa vie pour les délateurs, dont beaucoup ont continué à tenir le haut du pavé après la guerre, et leurs descendants persister encore de nos jours... passons.

Un fermier bricolant un peu dans le marché noir et les faux tickets de rationnement et faux papiers sera son tremplin pour l'aventure. Je ne peux habituellement pas piffer Guy Bedos, dont l'humour parisianiste me déplaît au plus haut point. Mais là, je l'ai trouvé juste, bien, équilibré, sympa.

Cette petite citadine de 9 ans n'a pas d'expérience des chiens. A la ferme, 2 bons bergers belges seront ses compagnons de découverte de la vie canine, précieuse expérience pour la suite.




Suite à la dénonciation des "bons Belges," le fermier est embarqué et c'est la fuite. La petite veut aller chercher ses parents, et on lui a dit qu'ils avaient été déportés "à l'Est," et donc elle part à pied vers l'Est. A l’aide d’une simple petite boussole offerte par le paysan, elle
traversera ainsi Allemagne et Pologne. Pour survivre, elle volera nourriture et vêtements, évitera les hommes et leur violence, intégrera une meute de loups et deviendra même l’une des leurs. Son périple aller-retour Bruxelles-Ukraine lui fera croiser des tas d'humains qui n'ont d'humain que la définition scientifique la plus froide.

Et des soldats crapuleux, mais elle saura se faire aimer de leurs gros chiens.

Et des loups.

Ahh... ce n'est peut-être qu'un tiers du film, mais quel tiers... quelle force, quelle beauté. Et tout l'apprentissage que le fermier avait donné à la petite est mis en pratique, et les loups répondent aussitôt puisqu'on s'adresse à eux dans "la bonne langue," la leur, celle où l'attitude, les gestes, le regard,
comptent autant si pas plus que tous nos inutiles verbiages bien souvent trompeurs.

Rendez-vous compte qu'en trois ans, en pleine guerre, elle va parcourir quelque 3.300 km en parvenant à se cacher la plupart du temps. Faim et froid seront le lot quotidien de cette fillette de 8, 9 puis 10 ans. Et la cruauté des hommes, et leur indifférence face à la souffrance d'autrui, leur égoïsme, leur folie, elle les rencontrera partout. Et puis en Pologne, enfin de la chaleur et de l'amour... quand elle sera intégrée pendant quelques mois dans une famille de loups, devenant par la même occasion la nounou des louveteaux. Elle dira que c'est là qu'elle aura vécu ses meilleurs moments. Aujourd'hui, alors qu'elle a 74 ans, n'allez surtout pas dire de mal des loups à Misha Defonseca!


"Les hommes ont peur des loups.
Moi, j’aime les loups et j’ai peur des hommes.
"
Misha Defonseca


Ce film est une immense leçon d’espoir, de courage et de persévérance. Animée d’une volonté inimaginable, la petite Misha prouve à l'humanité qu’aucun combat n’est perdu d’avance pour qui garde la foi, et que les limites de notre possible sont extensibles. Elle soulèvera littéralement les montagnes. C'est vraiment un film à voir en famille – à partir de 12 ans, parce que les images sont parfois terribles, et paraît-il, ce n'est pas grand chose par rapport au livre..



Anecdote : quand les louveteaux sont apparus à l'écran, un de mes enfants s'est écrié "Elviiiiis! C'est Elvis!"
C'est vrai que c'était fou, nous nous retrouvions exactement en juillet 2007, quand notre chien-loup était encore petit. La ressemblance était frappante, dans l'aspect et le comportement. Un clin d'oeil qui nous aura rendu le film encore plus précieux.


sources infos & (c) photos
http://www.loup.org, cool-sitefeuj.over-blog.com, allocine.fr, ecranlarge.com, et plus généralement images.google.fr

Distributeur officiel :
http://www.victoryproductions.be/survivreaveclesloups.htm



Je ne rajouterai qu'une seule chose : vivement qu'il sorte en DVD!



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"Survivre avec les loups" n'est pas une histoire vraie
AFP 28/2/2008

"Ce livre, cette histoire, c'est la mienne. Elle n'est pas la réalité réelle, mais elle a été ma réalité, ma manière de survivre", a dit Mme Defonseca, qui reconnaît s'appeler en fait Monique De Wael

L'histoire d'une petit Juive partant à la recherche de ses parents pendant la Seconde Guerre mondiale, qui a inspiré le livre et le film à succès "Survivre avec les loups", est imaginaire, a reconnu jeudi son auteur belge Misha Defonseca, après avoir prétendu le contraire.

Au coeur d'une polémique parce que son histoire, qu'elle disait autobiographique, était contestée par des historiens qui y ont relevé des incohérences, Mme Defonseca a finalement expliqué au quotidien Le Soir qu'elle s'était "racontée, depuis toujours, une autre vie".

"Ce livre, cette histoire, c'est la mienne. Elle n'est pas la réalité réelle, mais elle a été ma réalité, ma manière de survivre", a dit Mme Defonseca, qui reconnaît s'appeler en fait Monique De Wael, selon des propos publiés jeudi soir sur le site Internet du quotidien belge. Marc Uyttendaele, l'avocat de Mme Defonseca, a confirmé à l'AFP l'authenticité de la déclaration.

"Je demande pardon à tous ceux qui se sentent trahis, mais je les supplie de se mettre à la place d'une petite fille de quatre ans qui a tout perdu, qui doit survivre (...) et de comprendre que je n'ai jamais rien voulu d'autre que de conjurer ma souffrance", ajoute celle qui affirmait avoir été sauvée par une meute de loups. Selon l'enquête du Soir, la famille de Misha Defonseca/Monique De Wael n'était pas juive, ses parents résistants ont été arrêtés et déportés en 1941, lorsqu'elle avait quatre et non huit ans, et alors qu'elle était censée être sur les routes de Pologne, elle était en fait scolarisée à Bruxelles.

"Toute sa vie est un mélange de souvenirs de réalité et d'un univers intime qui s'est décalé de la réalité. Sa vérité n'était pas vraiment la vérité, ça lui a totalement échappé", a expliqué à l'AFP Me Uyttendaele, en soulignant que la petite fille, placée avec des membres de sa famille qu'elle détestait, avait fini par s'"identifier aux victimes absolues, la communauté juive".

Mon commentaire :
Snif.
En famille, nous avons réfléchit à ce problème, à cet aveu tragique.
C'est vrai que nous avons la fibre "chien" et "loup," et avec l'héritage famillial de déportation bien réelle, de fuite face à la Gestapo tout à fait authentique, ça rend d'abord compatissant face à une telle histoire, pas soupçonneux.
Et ici, d'après l'enquête journalistique, la dame serait réellement fille de déportés, ça n'excuse rien, ça n'excuse pas l'envie de se faire du fric et de la notoriété (surtout à son vénérable âge), mais ça explique quelque part cette vie mythomane. D'autres font bien pire et sans avoir l'excuse de la perte des parents en bas âge et dans de telles circonstances.

Ensuite, si l'histoire n'est donc pas vraie, cela n'enlève en rien aux qualités du film. Il est magnifique. Je persiste : j'espère qu'il sortira en DVD et on l'achètera.

Car après tout, chaque jour qui passe, nos politiciens (et nos medias, via les subventions) nous vendent mensonges sur mensonges, sans nous demander notre avis. Et ça coûte au pays bien plus cher que quelques tickets de cinéma.
voilà pourquoi nous ne regrettons pas d'avoir été voir le film, de l'avoir aimé, et pourquoi je ne supprimerai pas cette page-ci, même si quelque part, en effet, comme quelque millions de personnes, je me suis "fait avoir."

Pour une fois que j'aurai "librement consenti" à me faire rouler...


mercredi 2 janvier 2008

Une bonne nouvelle pour les chiens (américains) en 2008

Date: mercredi 2 janvier 2008 01:00:58 -0500
De: Galina Schneider
Forum: alt.religion.christian.east-orthodox
Sujet: Good News for 2008


1er janvier 2008

Communiqué de "Physicians for Responsible Medicine"

Tuer des chiens pour former les chirurgiens, c'est bientôt terminé!
(Killing Dogs in Training of Doctors Is to End)
Par Nicholas Bakalar


Opération sur un chien en 1948, afin de perfectionner une technique à utiliser sur des coeurs humains.
Fritz Goro/Time Life Pictures, via Getty Images


Dès le mois prochains, toutes les écoles médicales américaines auront abandonné la méthode longtemps pratiquée pour enseigner la cardiologie : opérer sur des chiens pour examiner leur coeur qui bat, puis les tuer après le cours.

La "Case Western Reserve School of Medicine" a été la dernière à faire usage de la méthode, mais la doyenne, le dr. Pamela Davis, a dit qu'à la fin de ce mois-ci, ce serait terminé.

Le 19 novembre, le New York Medical College de Valhalla s'était joint au 11 autres établissements de formation médicale de New York et avait annoncé qu'il fermerait son laboratoire de chiens.

Parmi les 126 écoles médicales américaines, 11 sacrifient encore des animaux pour enseigner, d'après le "Physicians Committee for Responsible Medicine" (Comité des Médecins pour une Médecine Responsable), un groupe enquêtant sur cette pratique. En dehors de "Case Western," plus aucun n'utilisait de chiens.

Francis Belloni, doyen du New York Medical College, dit que ses étudiants utilisaient maintenant des echo-cardiogrammes pour étudier le fonctionnement du coeur, et que les sujets étaient des étudiants en médecine, vivants, plutôt que des chiens vivants. Le dr. Belloni dit que l'usage de chien n'avait pas été fait à la légère et avait sa valeur, mais que les étudiants "deviendraient aussi de bons médecins sans en faire usage."